Le covid long : une maladie politique
Les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et la faculté de médecine de Santé de McGill organisent une étude portant sur le covid long. Quelle analyse en tirer?
Rappelons qu’avant 2021 le covid long n’intéressait personne. D'après la biblio branchée Eureka qui compile tous les articles de journaux, au Québec seuls 6 articles ont traité du covid long en 2020... contre 341 en 2021 et 610 en 2022.
Puis soudainement, les médias se sont mis à en parler abondamment. Il faut dire que le covid long est devenu l’argument des pro-vaccins, l’injection permettant selon eux de se prémunir de l’infection et donc de la maladie… Sauf que tout le monde sait que les injections n’empêchent pas la contamination.
En outre, ils ne se posent aucune question sur le lien de cause à effet entre la campagne d’injections massive et l’explosion soudaine de cette pathologie.
Rappelons aussi que plusieurs études montrent que très peu de gens déclarant souffrir de covid long sont en fait positifs à cette maladie. En voici quelques-unes :
D’après cette étude, sur 81 patients souffrant de covid longs, un avait la protéine spike virale et deux la protéine vaccinale.
Un article norvégien publié dans le prestigieux JAMA montre qu'il n'y a aucun lien entre les symptômes de covid long et une infection antérieure de sars-cov2 puisqu’après un suivi de 6 mois de gens infectés au covid et de non infectés, la prévalence était de 49% dans le groupe infecté… et 47% dans le groupe des non infectés. Les auteurs concluent que la gravité initiale du symptôme (quel que soit le virus), la solitude et la mauvaise activité physique sont, en revanche, liés aux symptômes de covid long.
Une étude sur le covid, publiée le 8 novembre 2021 dans le Journal of the American Medical Association, coordonnée par Cédric Lemogne, chef du service psychiatrie de l’Hôtel-Dieu à Paris, s’est intéressée à environ 25 000 personnes suivies pendant des mois par les autorités françaises de santé publique. Sur 27 000 personnes qui disaient souffrir de « covid long », seules 1 091 d’entre elles ont eu un résultat positif à un test sérologique. En pourcentage, 96 % de ces 27 000 personnes n’ont jamais eu le covid.
Une étude du NIH n’a trouvé qu’une « association minimale, voire aucune entre les résultats des tests et les séquelles aigues faisant suite à une infection au SARS-CoV-2 ».
Etc.
Donc le covid long n’a pas rapport avec le covid, ou très peu… En fait, le covid long est devenu le mot pour effets secondaires des injections ARNm. Il permet de camoufler la catastrophe. Alors qu’en 2020 les personnes qui disaient souffrir d’un covid long étaient considérées comme ayant un problème psychologique, tout a changé en 2021. Ce sont maintenant aux victimes d’effets indésirables à qui ont dit que leurs problèmes sont psychologiques.
Mais qu’importe! Le covid long est devenu une priorité des autorités car, comme on l’a vu il permet de camoufler la catastrophe… et justifie en même temps la vaccination, censée prévenir cette pathologie (alors qu’il est probable que c’est l’inverse qui se produit). Et les milliers de victimes d’effets indésirables? Et bien elles peuvent toujours attendre et feraient mieux de dire qu’elles ont un covid long, là on s’occupera d’elles.
Cette étude des IRSC et de McGill est donc clairement une commande politique afin de donner du poids à cette pathologie qui permet de masquer la réalité. Et il ne s’agit que d’une parmi tant d’autres. Tout cela coute des millions.
À l’heure ou le Québec accuse un déficit de 117%, tout cela est-il sérieux? Avec les catastrophes Northvolt et de la filière batterie, combien de temps va-t-on encore accepter tout cela?