CENSURE MÉDICALE : LA FRANCE FAIT TRÈS FORT
Si depuis, l'article 4 du projet de loi "visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires" déposé au Sénat français a été largement amendé, il n’en reste pas moins qu’il ne faut pas oublier son contenu qui était initialement extrêmement dangereux.
En effet, il prévoyait de punir "d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique."
Cela revenait à dire qu'il aurait été interdit de dénoncer les effets indésirables des médicaments et des vaccins et d'appeler à ne pas les utiliser, si le texte avait été adopté en l’état. Cela aurait été puni de 15 000 euros d'amende et d'un an de prison.
Inversement, promouvoir des médicaments considérés comme mauvais par les autorités (par exemple l'ivermectine et pourquoi pas la vitamine D puisqu'on a vu que la France, toujours elle, veut la classer comme perturbateur endocrinien), aurait aussi été puni des mêmes peines.
Didier Raoult, avec son hydroxychloroquine, aurait donc dû faire sa conférence d'octobre à Saint-Hyacinthe... depuis sa cellule.
Si l'idée étrange vous était venue de critiquer par exemple les injections ARNm et de promouvoir dans le même temps un médicament comme l'ivermectine, alors "les peines auraient été portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende."
Au nom de la lutte contre les sectes, la France tentait de légaliser la censure médicale.
Aujourd’hui, comme on l’a vu et suite au tollé qu’il a provoqué, cet article a été largement amendé et le projet de censure des opinions divergentes sur les traitements a été retiré. Pour le moment.
Cependant, il ne faut pas être naïf : ce retrait ne constitue aucune surprise, au contraire le gouvernement s’y attendait certainement tellement l’intention était énorme. Il s’agit en fait d’un test, comme la “pandémie” en a été un et comme les mondialistes s’amusent à en faire partout, comme en ce moment en Irlande. Ils reviendront à la charge. Ils avancent très vite, il n’y a qu’à voir ce qui se passe avec la réforme de l’Union européenne qui a lieu ce moment, le traité de l’OMS sur les pandémies qui devrait être validé en mai, etc.
Plus que jamais restons vigilants et mobilisés!